Mais ça n’a pas été toujours le cas.
Quand j’étais plus jeune, je disais souvent à mon père que c’était un “repos subi”.
En effet, tu peux profiter d’un peu de temps en famille ou de te balader en forêt, mais travailler, c’est non !
Les choses ont changé…
Aujourd’hui, on est dimanche et j’ai décidé que j’allais travailler (juste un peu).
Non pas parce que j’y suis contrait, mais bien parce que j’en ai envie.
Et ça, ça fait plaisir.
Ce que je veux dire par là, c’est que tu n’as pas besoin d’attendre qu’on te dise que tu dois ou ne dois pas travailler pour commencer à le faire.
The latte factor
Rien à voir, mais aujourd’hui dans le nouvel épisode de podcast, je parle d’un concept que j’ai découvert dans le livre How to Die with zero de Bill Parkins.
Ce concept comme le disent nos amis les anglophones: “the latte factor” représente toutes les petites dépenses qu’on fait au quotidien et qui au final reviennent à une fortune.
L’exemple typique est celui du café.
Un par jour à 1 euro pendant 1 an = 365 euros
Mais pas que
Au-delà de l’aspect financier, on peut étendre ce concept aux actions qu’on fait quotidiennement et qui finissent par avoir un impact important.
Avoir l’habitude d’ajouter un sucre dans son café chaque matin, représente un paquet de sucre sur l’année.
Petites actions quotidiennes, mais grand impact au final.
Le pire dans tout ça, c’est qu’en général, on ne fait plus attention à toutes ces petites actions.
Heureusement, ce n’est pas trop tard.
Je me suis un peu enflammé
J’avoue qu’écrire un mail par jour, c’est un peu ambitieux et je pense que je ne pourrais absolument pas tenir ce rythme.
Désormais, j’écrirai simplement quand j’en aurai envie, peut-être un dimanche.
Le nouvel épisode de podcast
Dedans, on parle d’habitudes, d’Amor Fati et de ce fameux concept un peu plus en détail.
Bon dimanche à tous !